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9 février 2006 4 09 /02 /février /2006 02:06

Retour au meilleur des mondes de Aldous Huxley

 Les portes de la perception de Aldous Huxley

Du contrat social de Jean Jacques Rousseau

L'homme à la découverte de son âme de C.G. JUNG

Se libérer du connu de Krishnamurti

Les portes de la perception de William Blake

 

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9 février 2006 4 09 /02 /février /2006 00:16

 

Le physique, le biologique, l'instinct, le mental, la conscience : Une échelle de degrés montrant les stades d'évolution de la Vie au travers de la matière.

L'homme est le degré de conscience dans l'échelle des stades d'évolution de la vie.

Actuellement, la conscience collective patauge entre le mental et la conscience et se réfère souvent encore à son instinct.

 

  Yo.

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8 février 2006 3 08 /02 /février /2006 15:08

 

"La perception est ce que l'individu reçoit du monde par l'intermédiaire de ses sens. La projection est ce qu'il y investit, c'est à dire les mirages, les chimères intérieures qui se plaquent sur l'objet, en interdisant la perception. Car la projection estompe, modifie, travestit la perception, oui, l'efface même pour être perçue à sa place. Pensez au "coup de foudre" qui fait prendre pour une reine du ciel une banale petite blonde, par projection sur celle-ci de l'image que tout homme porte en lui de la femme idéale."

 

Dr Roland Cahen, préface de "L'homme à la découverte de son âme", C.GJUNG.

 


 

"Condamner ou justifier empêche de voir clairement. Il en est de même lorsqu'on bavarde sans arrêt, car alors on  n'observe pas "ce qui est" : on ne voit que ce que l'on projette soi-même. Chacun de nous a une image de ce qu'il croit être ou de ce qu'il voudrait être, et cette image nous empêche totalement de voir ce que nous sommes en fait." (...) "Mais comment pourrions nous être libres de regarder et d'apprendre, lorsque, depuis notre naissance jusqu'à notre mort, nous sommes façonnés par nos nationalités, nos castes, nos classes, nos traditions, nos religions, nos langues; par l'éducation, la littérature, l'art; par des coutumes, des conventions, par des propagandes de toutes sortes, des pressions économiques, des modes d'alimentation, des climats différents; par nos familles et nos amis; par nos expériences vécues; bref, par toutes les influences auxquelles on peut penser, et cela, de telle sorte que nos réactions à tous les problèmes qui se présentent sont conditionnées."

 

Krishnamurti, "Se libérer du connu"

 


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1 février 2006 3 01 /02 /février /2006 02:04

Nous réclamons notre liberté spirituelle, celle qui nous permet de concevoir l'homme comme un être complet, sentimental et réfléchit. Celle qui refuse le principe du dogme, de la convention. Nous nous élevons jusqu'à penser au delà de ce que nous le permet notre société, au delà de l'étau monétaire qui aujourd'hui achète le bonheur car permet de jouir de tous les agréments offerts à l'homme par la nature et par ce qu'il a su faire d'elle. Nous sommes un nouveau souffle quoi qu'il n'en ait jamais existé. Nous voyons les choses telles qu'elles sont. Qu'elles soit concrètes ou bien abstraites, et nous nous élevons définitivement et sans repos jusqu'à ce que l'homme soit l'égal de l'homme, jusqu'au jour  où la clarté visuelle sera aussi définie que la clarté psychologique, à l'heure où l'homme reconnaîtra sa lâcheté, son défaut, son égoïsme, son profit et les abolira définitivement afin d'aboutir à cette limpidité de logique qui seule peut tendre à montrer qu'alors l'homme sera détenteur de sa vie par son honnêteté et détenteur de la vie d'autrui par sa corruption.

         La finalité de cet exode démontrera que le bonheur ne s'achète pas, ne s'achètera jamais et ne s'est jamais acheté car il n'a jamais existé. Nous nous sommes donné les moyens de créer une économie, des différences sociales, raciales, des vies difficiles, des morts si simples, des problèmes séculaires, mais jamais les hommes de notre planète ne se sont tous assemblés pour chercher ce bonheur que sa force rend si abstrait dans nos cerveau matérialistes, à croire qu'il nous fait peur, que nous le renions car sa vérité nous assassine, à nous êtres qui vivons dans la lâcheté, la corruption, le profit. C'est un demi-sucide car seul ce bonheur constitue l'essence de la vie. D'un autre côté comment l'homme pourrait-il reconnaître son état et crier haut et fort qu'il est un moins que rien, cet homme si convaincu, si orgueilleux, si dogmatique et manipulable? C'est pourtant le seul moyen d'évoluer, car on ne peut améliorer que ce que l'on reconnaît ne pas être parfait.

         Le bonheur est en lui même une bonne leçon pour l'homme, encore faut-il qu'il le conçoive, car il n'est pas personnel, non relatif, sans échelle de puissance. Il est ou il n'est pas et ne sera que lorsqu'il deviendra collectif au niveau mondial, lorsque tous les hommes se salueront au lieu de se craindre, s'aimeront au lieu de se battre. Lorsque tous les hommes comprendront que la plus belle évolution qu'ils puissent s'offrir est le bonheur et oeuvreront afin d'y parvenir comme ils ont oeuvré à s'entre-tuer, s'entre-haïr pour s'offrir la mort, la haine sur un plateau d'ignorance.

          Tant que l'Homme continuera de perpétuer le Spleen de Baudelaire, le Bonheur se refusera à son Ame. 

          Tant que l'Homme continuera de perpétuer le bonheur de son Ame, le Spleen se refusera à Baudelaire.

  

     Yo.

 

  

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